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Pensée positive
Objectif bonheur
Développement personnel
Coaching
Emotions positives ou négatives…
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J’entends ici des démarches trop volontaristes. Développer la ‘confiance en soi’ pour pouvoir diriger sa vie. Ou être plus fort pour accepter des conditions de vie inhumaines.
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De plus en plus, la ‘confiance dans la vie’ prend sens pour moi. Comme si chaque vie avait une note, une vibration, un chemin que nous devons trouver.
Il me semble que cette vibration personnelle s’entend dans nos tissus. Faire silence, écouter, pour ressentir ce qui nous appelle.
Ecouter le corps, qui n’est pas soumis aux filtres du mental.
Ecouter le Qi qui nous anime.
Trouver notre vibration et nous aligner, dans la joie.
Trouver notre intimité.
Ne plus se soumettre, se convaincre ou se mentir.
En 2023, le fonctionnement du cabinet reste identique :
lundi et mardi : les séances ont lieu à Barry d’Islemade, près de Montauban,
mercredi, jeudi, vendredi, samedi : les séances ont lieu à Toulouse, quartier Bonnefoy.
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Les tarifs restent les mêmes :
une séance adulte, 1h30, 50 euros
une séance enfant, 1h à 1h30, 40 euros
une séance réservée non honorée, 1h30 réservée, 30 euros. Le délai d’annulation est de 48 heures ouvrées à l’avance.
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Le cabinet est partagé avec Cécile Burrough, sophrologue et enseignante d’anglais.
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Les consultations se déroulent habillé, les manipulations se font sur une table de massage.
J’utilise la médecine chinoise pour cerner la problématique, et j’utilise l’ostéo-kinésiologie pour aider le processus de guérison.
La compréhension des mécanismes psychiques et symboliques s’enrichit grâce à ma formation en psychanalyse.
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Je vous souhaite une joyeuse fin d’année 2022 et de l’enthousiasme en 2023 !
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La trahison est nécessaire et inéluctable :
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Nous trahissons les attentes, les projections que l’extérieur pose sur nous (au travail, dans la famille, dans le couple,…).
Ou nous nous trahissons nous-même en restant dans une loyauté obéissante à l’extérieur.
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Trahir en conscience, c’est « reconnaître ce que j’ai reçu de cet environnement que je quitte pour grandir » et « reconnaître la souffrance de l’autre que je quitte ».