Après m’être interrogé sur le sens de ce postulat : « la vie est sacrée »,
j’ai compris que ce qui me dérangeait, c’était l’idée de « mentaliser » la vie,
nous l’enfermons dans nos concepts,
et nous nous privons du choix de la vivre ou de la quitter, donc nous nous aliénons.
La vie est là, elle est en mouvement, elle est libre,
elle s’en fiche de nos concepts sur elle,
mais elle nous offre la possibilité de nous joindre à elle, de suivre son mouvement, de bénéficier de sa joie.